08.03.2023
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, prévue comme secrétaire générale de l'Otan.
«Von der Leyen est prête à diriger l'Otan» si elle n’est pas élue, de nouveau, présidente de la Commission UE, signale La Repubblica, évoquant «son plan B».
Le quotidien italien dévoile qu’ «en fait, elle devient la véritable carte surprise de Washington pour la succession de Jens Stoltenberg», et que c’est «une opération qui a eu lieu il y a quelques semaines et qui pourrait mettre à mal tous les schémas que préparaient les familles politiques européennes en vue des élections de l'an prochain», informant que son plan B est «soutenu par le président américain, Joe Biden».
La raison, expliquant l’existence de son plan B, sont «les élections européennes qui se tiendront à la fin du printemps 2024, où elle ne pourrait plus avoir la majorité, selon les sondages, lors de la prochaine législature» pour une nouvelle présidence à la tête de la Commission européenne».
Observateur Continental notait en août dernier que «les spéculations sur la succession au poste de secrétaire général de l'Otan vont bon train» car «en septembre 2023, le poste de secrétaire général de l'Otan sera libre».
Le mandat de l'actuel secrétaire général de l'Alliance de l'Atlantique Nord, Jens Stoltenberg, expire le 30 septembre.
Auparavant, il avait été relayé que l’ancien Premier ministre britannique, Boris Johnson, avait l'ambition de prendre le poste de secrétaire général de l'alliance politique et militaire.
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