Ce 26 mai 2019, le premier parti musulman de France se présente aux élections européennes grâce à une dérogation administrative dans une France qui refuse les statistiques religieux ou ethniques. Les pays des peuples de souche de cette Europe de l'Ouest (France, Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Autriche, Luxembourg, Suède, Danemark, Royaume-Uni, Espagne, Finlande, Portugal ) sont plus ou moins fragmentés en ethnies et en groupes religieux non européens. Des volontés de sécesssion se font savoir sur le territoire français quand on a des technocrates de Bruxelles et de Strasbourg avec les partis traditionnels qui font mine de ne pas voir la réalité. L'islam en profite pour s'engouffrer dans le vide politique en Europe en surfant sur l'existence de la discrimination positive http://observateurcontinental.fr/?module=articles&action=view&id=1007 . En France, ce premier parti musulman de France, l'UDMF, l'Union des Démocrates Musulmans français, qui clame se battre pour «une Europe n’oubliant pas son Histoire» se présente aux élections européennes comme la 34ème liste en France. L'islamisation généralisée et la fragmentation de la France se confirment avec l'UDMF. En outre, l'UDMF a obtenu du ministère de l'Intérieur une dérogation spéciale d'une semaine à la date légale de clôture pour valider sa liste, une dérogation qui interpelle, inquiète !
La charia. L'Union des démocrates musulmans a été lancée en 2012 en se présentant aux élections locales et régionales en France. Cette liste, par son président, Nagib Azergui, demande, de ne pas déchoir la nationalité française à des jihadistes, le retrait de la loi de 2004 qui interdit le port du voile musulman dans les écoles publiques en voulant que les petites filles soient voilées dans les collèges et les lycées alors que la France est confrontée à des actes violents issus de l'islam dont de nombreux actes terroristes et à une volonté de sécession du territoire comme l'expliqua M. Hollande dans « Un Président ne devrait pas dire ça ». En outre, Nagib Azergui, veut faire condamner, en France, ceux qui disent qu’il y a trop d’immigration musulmane, « c'est à dire introduire dans le droit français le délit de blasphème » explique Christine Tasin (1). L'Union des Démocrates Musulmans français est un oxymore car défendre l'islam c'est défendre sa traduction qui est la soumission ce qui est le contraire total avec la liberté des opinions pour n'importe lequel des démocrates. En outre, le parti se revendique « laïque et profondément républicain » ce qui heurte car on ne peut pas revendiquer une réligion et un communautarisme et dire défendre la laïcité. Christine Tasin, qui dénonce l'invasion de l'islam en France, souligne que l'UDMF «veut la liberté d'expression dans la limite de la charia» et «prône l'islamisation» alors que «la loi islamique s'impose déjà partout en France». «On veut nous imposer l'islam, les politiques veulent le grand remplacement (2)», «il n'y a qu'un islam, modéré ou pas», «je ne vois pas comment on pourrait s'en sortir si on n'interdit pas l'islam», dit Christine Tasin.
Volonté de prendre le pouvoir par les urnes. Le véritable objectif pour les cadres de l'UDMF est la conquète des élections locales en 2020 et de prendre le pouvoir en France. «Ces élections européennes 2019 ont permis de nous faire connaître», explique Nagib Azergui qui se glorifie de cette formule «le Grand Remplacement est en marche dans les urnes de la République» comme pour se moquer de Renaud Camus le fondateur de cette tournure de «Grand Remplacement» qui dénonce l'invasion migratoire, l'islamisation de la France et le changement de peuple. Jean-Frédéric Poisson, le président du Parti chrétien-démocrate, s'indigne aussi dans un tweet de la manière dont la liste de l'UDMF a été validée : «Quelle est cette décision dérogatoire dont on ne peut que supposer qu’elle n’aurait été accordée à aucune autre candidature ?! La «soumission» s’installe à tous les étages de la France, des quartiers islamisés aux plus hautes institutions républicaines.»
1. Christine Tasin personnalité politique contre l'islam
2. Le Grand Remplacement, terme inventé par l'écrivain Renaud Camus